{° Pensée du soir...Bonsoir | Mathéo | HOT^^

Par un soir assez friqués, notre petite brunette ne voulait pas rester dans le repère, ni même être dans quelque chose de clos. Allez savoir pourquoi, dehors, le vent soufflait à une assez grande vitesse, le froid s'était un peu installé, la nuit tombait assez rapidement. On pouvait presque voir la lune d'ailleurs. On entendait également les chiens aboyaient, ou plutôt, faire le cri de la mort, vous savez quand ils hurlent la nuit et que chacun répondent à leur tour, que ce cri vous fait froid dans le dos, vous donne la chair de poule. Et bien, cette nuit là, il était de sortit. Et Mélanie également. Bien sur, tout ce spectacle ne lui fesait aucun effet, elle avait vu des choses encore plus horrible et plus terrifiante, mais ce n'était pas pour autant qu'elle se sentait en sécurité absolue. Bref, après s'être habillée, d'un jean, d'un tee shirt et d'une petite veste, c'était la seule veste qu'elle avait trouvé et elle ne tenait pas spécialement chaud, mais que voulez-vous, on fait avec ce qu'on a non ? Donc, après s'être habillée, Mélanie se dirigea vers la porte d'entrée du repère pour sortir en espérant que personne ne la voit. De toute manière, elle était assez grande pour prendre ses décisions toute seule. Enfin arrivée devant la grande porte, elle l'ouvrit et sortit dehors en tenant bien sa veste contre elle. A peine fut-elle deux secondes dehors, que le vent s'était déjà mis à lui effleurer le visage. Un souffle froid et rapide qui vous laisse, comme trace, un frisson qui vous parcoure tout le corps. Mais, ne fesant pas attention à cet évènement, Mélanie continua de marcher en ayant un petit peu sa tête baissée pour ne pas se prendre le vent dans les yeux. A coup sur, les larmes viendraient. Quelques minutes après, notre brunette fut enfin arrivée à sa destination, le parc. Il n'y avait pratiquement personne, seulement quelques personnes soient en couple, soit seule. Mélanie n'y fesait même pas gaffe, elle était dans ses pensées. Comme l'heure était assez tardive, aucuns enfants n'étaient dans le parc, alors, elle se dirigea vers les jeux d'enfants et se positionna sur l'une des balançoires qui se trouvaient dans le parc. Elle se laissa tout doucement basculer en avant puis en arrière. Elle avait mis ses deux petites mains dans les poches de sa veste, mais même à l'intérieur, elle les sentait froides. Mélanie ferma un petit peu les yeux avant de les réouvrir et de regarder le sol, ou plutôt le sable.

Mélanie émit un soupire assez long avant de renifler doucement. Non, les larmes ne lui venaient pas aux yeux, enfin du moins pas pour l'instant, certes, elle était triste, mais elle essayait de rester forte.

J'ai besoin d'air, j'ai besoin de respirer il fait trop chaud ici, j'ai besoin de liberté... Le soir est tombé, je peux me permettre un petit tour dehors, quitte à me transformer en chien ou autre, ainsi, je ne me ferais pas remarquer! Je sais, dehors il fait froid et alors? Cela ne m'atteind plus depuis longtemps, j'ai vécu tellement de souffrance que ses petites choses de la vie ne me font plus rien. Je sens encore son odeur, mais ou va-t-elle? Oui, c'est bien Mélanie, je la pensais endormie, mais je n'ai pas été vérifié aujourd'hui comme souvent le soir. J'aime la regarder dormir pendant quelques minutes, c'est le seul moment ou elle semble paisible et ou je ne risque pas de lui faire du mal. Mélanie, ou vas-tu à cette heure si tardive, puis il fait froid dehors? Je sais, je ne devrais pas mais j'ai peur pour toi je vais te suivre, voir si tout va bien, je sens que le danger rôde dehors...

Mathéo était dans son lit, il étouffait à force d'être seul dans cette pièce unique et assez étroite... Le jeune homme était en train de se préparer pour aller dehors, même si il comptait se transformer une fois hors du repère. Le jeune homme senti alors une odeur, une odeur qu'il aimait tellement, celle de Mélanie, ou allait-elle seule le soir? Il n'en savait rien, il n'aimait pas la savoir seule ainsi dehors le soir. Il décida alors de la suivre, il sorti dehors à son tour, un pull et une veste noir, un jeans et des baskets. Il prit son courrage à deux mains et se transforma en chien, un berger allemand, il essaya de ne pas crier de douleur sous cette transformation... Une fois fait, il repéra l'odeur de la belle brune et se mit à sa recherche, il la trouva au coin d'une rue et la suivit jusqu'au parc ou il se cacha derrière un buisson. Il senti alors une autre odeur, celle d'un homme et le vit au loin en train de regarder Mélanie avec envie. Il grogna légèrement, ne le lâchant pas du regard. Quand il le vit sorti un couteau de sa poche, mais surtout approcher de Mélanie à grand pas, Mathéo fit un bond hors de sa cachette en grognant brusquement se mettant près de Mélanie. L'homme fit brusquement demi tour en voyant le chien agressif, Mathéo était découvert, espéront que Mélanie ne se doute pas de qui il était...

Mélanie était toujours dans le parc en train de se balancer doucement sur la balançoire. Elle ne fesait vraiment pas gaffe à ce qui l'entourait, la preuve, un homme derrière elle était en train de s'approcher avec un couteau dans la main. OK, notre brunette ressentait une émotion comme une envie, mais elle ne savait pas de exactement de quelle envie on parlait mais c'est sur qu'elle ne ressentait pas une envie heureuse . Et bien, c'était une envie de tuer, Mélanie ne se doutait pas du tout que l'homme voulait, soit la tuer, soit lui faire quelque chose de brutal. Elle était toujours dans ses pensées à savoir comment aurait été sa vie si elle n'avait pas eu les pouvoirs. D'un coté, elle regrettait de les avoir mais de l'autre non, ses avis sur ce sujet étaient toujours partagés en deux. Le coté positif et le coté négatif. Dur de savoir ce que l'on pense exactement avec deux réponses complètement différentes. Bref, notre brunette était toujours assise sur sa balançoire quand elle vit surgir un chien. Elle se releva brusquement et le vit grogner contre quelqu'un d'autre qu'elle. Alors, Mélanie se retourna et vit un homme qui partait en courant. Son souffle fut coupé, elle ne l'avait même pas entendu venir, alors, que celui ci, voulait surement faire du mal à Mélanie, en voyant cette scène, Mélanie avait reculé, mais elle était tombée, et oui, elle s'était embronchée les pieds et pouf par terre, là, c'était sur et certain, l'homme aurait pu faire de ce qu'il voulait de notre brunette. Mais heureusement, un chien, un berger allemand, une race vraiment très belle, était venu à son secours. Mélanie regardait l'homme partir en ayant une boule au ventre. Elle respirait assez rapidement, en même pas quelques secondes, un stress, un sentiment de peur s'était installé en Mélanie. Mais voyons le bon coté des choses, Mélanie n'avait rien grâce à un chien qui était sorti au bon moment. Notre petite brunette tourna doucement sa tête vers lui et le regarda. Elle se releva un petit peu et s'approcha doucement du chien. Elle lui émit un petit sourire avant d'approcher une de ses deux petites mains vers son visage. Mélanie lui caressa doucement les poils avant de prononcer un faible...

...Merci...

Elle regarda dans les yeux le chien avant de se relever. Elle ne quittait pas des yeux le chien en face d'elle qui venait de la défendre, de la sauver. Elle remit sa main dans sa poche et émit un petit sourire. Puis elle se posa une question, pourquoi le chien l'avait-elle défendu ? Après tout, un chien errant ne défend personne et un chien qui appartient à quelqu'un défend seulement les personnes qu'il connait. Alors, Mélanie fronça doucement les sourcils avant de soupirer doucement.

Pourquoi tu es là...Mathéo ?

Mélanie regarda le chien, enfin plutôt Mathéo qui était transformé en chien avant de se remettre une mèche derrière l'oreille. Elle ferma doucement les yeux pour les réouvrir et les diriger vers le fond du parc qui était sombre. Normal, à chaque seconde, la nuit tombait encore plus. Elle re-dirigea son regard vers Mathéo. Mélanie savait très bien qu'il n'allait pas lui répondre, un chien parlant ne se voit pas tous els jours et même sa n'existe pas, du moins, pour le monde des humains, et de plus, il n'allait pas se transformer en Mathéo lui même devant quelques personnes encore restantes dans le parc. Alors, notre brunette se recula et se remit sur sa balançoire.

Non, personne ne la touchera, non, personne ne lui fera du mal... Je lui donnerait ma vie, je me sacrifirais pour elle sans hésitation! Alors toi, homme, n'essaye même plus de t'approcher d'elle pour lui faire du mal... La prochaine fois, je te tuerais sans hésitation car tel sera ton destin, court et douloureux! Mélanie, j'espère que tu vas bien, mais...que fais-tu à terre? Ha, tu es sûrement tombé sous le choc, je connais sa, enfin, je tombe souvent. Tu ne t'ai pas fais mal au moins, même quand tu tombe j'ai peur pour toi. C'est lus de l'amour c'est de la rage, mais peut-être que c'est plus que de l'amour, causé par cette séparation brutal la dernière fois. Je n'aime pas te savoir sans compagnie le soir et j'ai raison, si je n'avais pas été la... Je n'ose même pas y penser, heureusement que j'ai eu une intuition aussi forte. Mélanie, si seulement tu savais...

Mathéo venait donc de défenre la belle brune, il regardait l'homme s'en aller en courrant et il tourna ensuite les yeux vers la jeune demoiselle. Il la vit les fesses à terres, elle avait du tomber sous le choc, il espérait qu'elle ne c'était pas faite mal. Oui, même quand elle se faisait un petit bobo, Mathéo s'inquiétait! Je vous jure... Le jeune homme la regardait doucement, sa queux de chien se mit à se balancer de gauche à droite, il était heureux de la voir. Il la vit se lever et lui caresser la tête, une fois sous sa forme animal, il se contrôlait mais cela dépendait de qu'elle forme. La, c'était un chien, un animal pas réellement agressif, un animal plutôt docile quand on y pense... Le jeune homme se laissa faire doucement, il l'entendit la remercier et il gémit légèrement. l la vit se redresser, elle lui demanda alors se qu'il faisait la et elle l'appella par son prénom. Le chien baissa la tête en signe de désolation

*Je sais, je n'aurais pas du...*

Je suis désolé, ne viens pas croire que je te suie sans arrêt ma douce Mélanie, mais j'avais tellement peur pour toi... Pourquoi à tu l'air si déçue de me voir, je sais, depuis ce baiser échangé on c'est quitté dans d'étrange condition et je m'en veux réellement, c'est de ma faute. Je ne voulais pas te faire souffrir, si tu savais seulement se que je ressens depuis. Si seulement je pouvais revenir en arrière, je pourrais tout éffaçer et revenir au baiser et ne pas me laisser aller. Comment te le faire comprendre, en chien, je ne le peux pas c'est impossible...mais en homme...

Mathéo regarda Mélanie se remettre sur sa balançoire, il gémit doucement et approcha pour mettre sa tête sur ses genoux. Puis, il la regarda avec ses petits yeux noirs. Après quelques secondes, il reparti dans son buisson, on entendit de léger bruit et Mathéo sorti du buisson comme si de rien n'était, ni vu, ni connu... Il approcha alors de Mélanie, les mains dans les poches, ses yeux bleus brillants sous la lune qui apparaissait doucement. Il regarda autour de lui, il sentait déja cette envie de dominance envers les autres mais devait se contrôler. Il essaya d'oublier cette envie et alla s emettre juste sur la balançoire à coté de Mélanie

"Je sentais que quelques chose allait se passer...je t'ai alors suivie et j'ai bien fais..."

Il la regarda avec douceur et tendresse, elle était encore plus belle sous les étoiles naissantes du ciel.

Mélanie s'était remise sur sa balançoire ne fesait plus gaffe non plus aux gens qui étaient dans le parc. Après tout, elle ne risquait plus rien, Mathéo était là, elle savait que même, si une femme venait à s'approcher, il resterait à ses cotés pour l'aider. Il avait toujours cette habitude, s'inquiéter pour Mélanie, même si elle se couper avec un couteau, une toute petite entaille, il serait là à s'inquiéter qu'elle n'attrape aucune maladie ou je ne sais quoi^^. Elle aimait ce petit coté protecteur en lui, mais c'était assez dur de pouvoir le remercier...Bref, notre brunette était assise sur sa balançoire quand elle vit Mathéo en chien venir déposer sa petite tête sur ses genoux. Mélanie le regarda dans ses yeux noirs et lui émit un petit sourire. Elle était contente qu'il soit là, mais elle n'avait pas oublié la fin de leur discutions de la dernière fois...Elle avait fini par un baiser et une souffrance pour Mathéo, alors elle s'en voulait un peu. Elle continuait de le regarder avant de le voir partir. Elle fronça alors les sourcils le voyant aller dans un buisson. Elle se demandait ce qu'il allait faire, soit il partait, soit il allait revenir en sa forme humaine. Puis, elle entendit des petits bruits, alors elle tourna ses regards vers les gens, ouf, ils étaient assez loin pour les entendre ou alors ils s'en fichaient. Puis elle vit Mathéo, sortir du buisson comme si de rien n'était. Elle dessina un petit sourire sur ses lèvres. Elle revoyait enfin le jeune homme qui fesait battre son cœur, sans souffrance, sans transformation. Elle ne savait pas pourquoi, mais son cœur commençait à s'accélérer. Elle redoutait peut être leur face à face. Mélanie regardait doucement le sable qui les entouraient, elle le vit alors s'assoir à ses cotés, sur la balançoire voisine. Mélanie avait ses petites mains sur les cordes de la balançoire. Elle tint encore plus quand Mathéo s'installa à ses cotés. Alors, elle tourna ses petits yeux vers Mathéo quand elle l'entendit parler. A cette vue, Mélanie sentit son cœur battre à la chamade, sous l'éclairage des étoiles, Mathéo était encore plus beau. Si notre brunette était une dragueuse née, elle lui aurait déjà sautée dessus.

Oui...hum...Désolée, je...J'étais assez secouée de ne pas avoir surveillée si quelqu'un allait venir...Mer...Merci, Mathéo, sans toi je serais peut être morte ou je ne sais quoi à ce moment précis.

Mélanie fit un petit sourire à Mathéo et le regarda dans les yeux. Elle vit dans son regard, de la douceur ainsi que de la tendresse. Mélanie, quand à elle, essayait de ne rien exprimer dans son regard mais c'était vraiment dur. Alors, elle fit apparaitre un regard tendre et doux également. Mais son cœur battait toujours autant. Hum, notre brunette aurait-elle des envies ?...Peut être, n'oublions pas que Mathéo lui fesait de l'effet. Bah quoi, il était beau, et son regard...N'en parlons pas. Mélanie détourna assez vite son regard, elle ne voulait pas que l'on voit dedans son envie de Mathéo...Mais de toute façon, Mathéo, étant un humain qui pouvait se transformer en n'importe quel animal, devait normalement ressentir les envies ou je ne sais quoi...Et oui, les animaux ressentaient plus facilement les hormones qui sont en travaillent chez les humains. Et bien, notre brunette ne le savait pas, enfin, elle n'y avait pas pensé...Alors, comment allait être Mathéo lorsqu'il allait ressentir l'envie de Mélanie...Sera-t-il gêné ? Ou sera-t-il content ?

J'entend son coeur battre de plus en plus vite, comme si elle avait peur de quelque chose mais il y a bien plus que sa... Oui, je le sens mais je n'arrive pas à faire le tri entre toutes ses choses... Il faut que je me concentre, j'entend battre son coeur bien plus vite que d'habitude, elle est tellement belle. Je ne peux détacher mon regard du siens, elle est magnifique sous les rayons de l'astre lunaire, on dirait une déesse. Quelque chose en moi se déclanche, c'est étrange, c'est déclanché par quelque chose d'autre... Je n'arrive vraiment pas à comprendre, je dois laisser mon coté animal prendre le dessus mais poser une certaine limite! Je ne dois pas le laisser complètement m'envahire sinon, je crains le pire. Bon je dois récapituler, son coeur bat rapidement, elle a l'air comment dire...gêner, elle a sa chaleur corporelle qui monte d'un ou deux crans, ses hormones...mais je n'arrive pas à cerner

Mathéo était la, assit sur la balançoire, il déposa ses mains sur les deux cordes qui tenaient la balançoire en l'air. Il se balança légèrement... Il sentait que quelque chose dans l'air venait de changer, il ne comprenait pas encore réellement bien vu qi'l essayait de garder son coté animal en lui. Mais il sentait que quelque chose venait de changer en Mélanie, il était réellement curieux de savoir quoi! Le jeune homme l'entendit parler, l voyait son regard doux et tendre comme le siens. Il sourie légèrement, un des rares sourires qu'il faisait pour elle. Le jeune homme laissa alors plus son coté animal prendre le dessus, il voulait absolument savoir se qui se passait en elle, son coeur battait plus vite, elle avait l'air...changeante. Il avait besoin de savoir! Ses yeux s'assombrirent légèrement mais sans plus, il avait stopper une limite bien précise. Il se senti alors tout drôle quand il répondit

"Tu...tu te serais défendue..."

Je sens, maintenant je sais...ses hormones sont bien plus élevée mais sa a la même conséquences chez moi... sa a une répercution chez moi instable, j'ai qu'une envie, lui sauter dessus. j'ai vraiment l'impression d'être un chien maintenant, mais heureusement je ne le suis pas. Je dois me contrôler mais comment faire... Non, j'en ai marre d'essayer d'éviter tout contacte avec elle, peut-être que c'est cette augmentation d'hormones qui me donne du courage, plus envie d'elle qu'auparavant, je n'en sais rien... Mais moi, tout se que je sais, c'est que je ne peux plus résister!

Mathéo était la, il la regardait avec une grande tendresse... Il avait laissé aller son coté animal un peut plus, ainsi, il avait pu sentir que les hormones de Mélanie la travaillait réellement, mais cela se répercutait sur lui et donc il se sentait différent. Il la regardait, elle était sublime, il se retenait vraiment de se jeter dessus. Puis, sans comprendre, sans réaliser, il se leva, prit la main de Mélanie pour la redresser et l'embrassa. Pas un petit baiser, un baiser plus passionné que d'habitude. nfaite, plus les hormones de Mélanie la travaillait, plus l'envie du jeune homme augmentait et donc, il avait plus de courage pour avançer aller de l'avant et se rapprocher d'elle... Il détacha doucement ses lèvres des siennes, juste de quelques millimètres

"Si tes hormones te travaille encore, je sens que je ne serais même plus me retenir. Mais on va dire...que sa m'arrange, je ne réfléchis plus, je vais de l'avant c'est tout et je trouve sa super..."

Mon dieu comme je l'aime, comme j'aime sentir ses lèvres contres les miennes, son corps contre le miens... J'aimerais tellement qu'elle reste à mes cotés plus longtemps, qu'elle vienne vers moi plus souvent. J'en suis amoureux, fou amoureux et c'est tellement merveilleux à certain moment comme celui-ci, je n'ai qu'une envie lui sourire, la prendre dans mes bras, l'embrasser et bien plus encore. Oui, je sais, c'est encore mon coté animal qui parle, mais la, c'est plutôt comment dire...agréable!

Mathéo la tenait toujours contre lui, ses lèvres à quelques milimètres des siennes, il la regardait droit dans les yeux. Ses mains glissèrent légèrement dans le dos de la jeune demoiselle venant se mettre sur son bas du dos, il déposa son front contre le sien, se collant totalement à elle. Il pouvait sentir son souffle contre sa peau, son odeur si proche de lui, sa chaleur augmenter aussi et autre chose qui augmentait. Quelque fois, sa avait du bon d'être animal, on pouvait sentir les envies des filles, sa, sa pouvait être très agréable mais le problèmes c'est plus elle aurait envie plus il ne saurait plus se retenir le pauvre...

Mélanie était toujours sur sa balançoire essayant d'éviter le regard de Mathéo. Oui, il faut l'avouer, notre brunette avait envie de notre beau brun. Mais que voulez-vous, c'est dur de résister, surtout quand l'être aimé vous sauve la vie. Et puis, chaque jours, chaque nuits, elle le voyait et ne pouvait rien faire, Mathéo ne voulait pas l'approcher de peur de lui faire du mal, alors à présent qu'ils étaient dehors, Mélanie avait compris qu'elle ne risquait rien, alors les blocages pour que rien ne se passe, à force de les garder et bien là, Mélanie a laissé parler son cœur, sa tête et son corps. Plusieurs fois elle avait eu envie de lui, mais là, c'était surement la plus forte. Mélanie tenait toujours aussi bien les cordes de la balançoire essayant de se contrôler. D'habitude elle y arrivait, mais à peine Mathéo prononçait-il quelques mots, que Mélanie s'imaginait déjà en train de l'embrasser. Et les réactions se fesaient très rapide. Vous savez, lorsque vous rêvez d'un garçon qui vous attire, ou même, que vous aimez, et que vous vous voyiez vous embrasser...Cela vous fait toujours de l'effet parce que vous savez que c'est un rêve, et bien pour Mélanie c'est pareil. Son cœur s'accélère, son corps se fait brulant, des frissons viennent sur ses bras, ses jambes, son ventre. Son corps entier commençait à ressentir une envie. C'était surement la première fois qu'elle ressentait réellement ça, et pour le peu qu'elle connaisse, c'était assez agréable, mais elle devait néanmoins se contrôler. Elle détourna doucement ses petits yeux vers Mathéo et le regarda parler. Elle regardait surtout ses lèvres, des lèvres qu'elle désirait plus que tout mais qu'elle ne pouvait pas approchée. Des lèvres surement douces et chaudes...Hum...Calme Mélanie. Notre brunette regardait Mathéo dans les yeux et lui émit un petit sourire. Elle allait devoir répondre, mais sa voix devait être essoufflée alors qu'elle n'avait rien fait...

Ou...Oui, sur...surement.

Mélanie regardait Mathéo, elle n'avait pas tellement remarqué ses yeux un peu noirs, ce qui voulait signifier sur son coté animal prenait un peu le dessus. Mais même si Mélanie l'avait remarqué, c'était trop tard pour essayer de se contrôler. Mélanie se sentait très bizarre. D'ailleurs, Mathéo devait soit le voir, soit le ressentir. Notre petite brunette détourna son regard et se mit à regarder le sable, peut être un moyen pour se calmer ? Mais malheureusement ou heureusement, tout dépend de la version, Mathéo se releva, attrapa la main de Mélanie pour la faire se redresser et...contre toute attente, il l'embrassa. Pas un baiser timide ou petit non, un baiser avec de la passion dedans. Mélanie, quand à elle, fut assez surprise mais se laissa aller avec lui. C'est à dire, qu'elle prolongea doucement le baiser pour savourer chaque seconde où ses lèvres étaient contre celles de Mathéo. Mais ce baiser apporta à nouveau un changement bizarre en Mélanie, elle avait encore plus chaud et encore plus envie du beau brun. Aie, aie...Mais Mathéo détacha ses lèvres de celles de Mélanie, elles étaient qu'à quelques millimètres. Notre brunette avait ouvert les yeux entendant la voix grave de Mathéo dans le silence du soir. Elle émit un petit rire en l'écoutant. Sa respiration devenait plus forte et plus accélérée.

Je...Je suis désolée, mais je me suis retenue trop longtemps...

Mélanie gardait un sourire sur ses lèvres. Elle avait passé ses mains et bras autour du cou du jeune homme. Lorsqu'elle sentit les mains chaudes de Mathéo glisser sur son dos pour aller se mettre dans le bas, Mélanie ferma doucement les yeux, se mordillant la lèvre tout en prenant une grande inspiration. Elle sentit son corps être proche de celui de Mathéo, elle laissa son front contre le sien sentant son souffle chaud contre son visage, ses lèvres. Mélanie ouvrit ses yeux et le regarda. Elle se sentait bizarre, son corps était comme de la braise, intérieurement mais extérieurement non. Sa respiration devenait accélérée. Alors oui, Mélanie avait très envie de Mathéo...

Je sais pas se qui se passe, cette envie en moi monte comme une flèche tirée. Je n'ai pas peur, c'est étrange d'ailleurs, je n'ai plus peur. Cette envie refoulée en moi comme en elle ne fait que monter, je sais, c'est normal dans un sens mais en même temps tellement dangereux pour elle comme pour moi. Depuis ce pouvoir, je n'ai plus osé toucher une seule fille de peur de lui faire du mal, la, je n'ai plus qu'une envie briser cette loie que je me suis imposé pour une seule nuit. Je sais, je sais pourtant que cela peut s'avérer très dangereux. Mais cela ne pourrait que me rapprocher d'elle, peut-être mettre fin à cette histoire de "je t'évite", j'aimerais tans pouvoir briser les chaines qui me retiennent. Je l'entend parlée comme si elle avait courrut sans se stopper pendant une demi heure, elle a l'air toute éssouflée, c'est bizzare de la voir ainsi, moi qui n'en ai pas l'habitude.

Le jeune homme l'observait calmement, elle avait un comportement différent, comme si elle désirait quelque chose qu'elle ne pouvait avoir. Il la comprenait parfaitement, il ressentait sa ben plus fort qu'elle. Après tout, c'est un garçon mais doublé d'un animal se qui est bien pire! Le jeune homme l'entendit parler, dire une petite phrase comme si elle était éssouflée. Il se leva alors brusquement et l'attrapa pour l'embrasser. Un baiser passionné, sans aucune crainte, sans aucune hésitation. Il détacha alors ses lèvrs des siennes, gardant ses lèvres à quelques centimètres des siennes, collant son front au siens avant de lui dire des paroles. Il sentait que la respiration de Mélanie devenait bien plus forte, bien plus accélérée, la passion en Mathéo se déchainait comme un tourbillon de sentiments incompris et tellement ignoré depuis longtemps. Elle dit alors qu'elle c'était retenur bien tros longtemps, il se colla de plus belle à la jeune demoiselle, la regardant droit dans les yeux.

"Moi aussi..."

L'amour peut se révéler en plusieurs manières, je le sais, moi, je l'ai connu comme une souffrance de ne pas pouvoir toucher celle que j'aimais... Dans la peur de lui faire du mal, je devais l'éviter à tout prit dans mon esprit, gardant mes envies pour moi comme un animal qu'on attachait à un mûr juste devant un morceau de viande que je ne peux attraper. Drôle de métaphore je sais, mais c'est dans un sens pareil... Maintenant, ses envies son bien tros forte pour que je les ignores, tros forte pour ne pas qu'elles me touchent. Je devrais peut-être tout stopper maintenant, mais je sais qu'il est tros tard. Me trouver si proche d'elle me fait tourner la tête, sentir son corps contre le miens, sa peau si douce sur mon visage. Comme résister d'avantage, peut-être que se rapprochement devait se faire un jour ou l'autre, mais je n'imaginais pas que cela allait se passer dans un parc.

Le jeune homme sentait battre son coeur bien plus fort, il la regarda doucement et sourie entre l'amusement et la tendresse. Il approcha alors de nouveau ses lèvres des siennes et l'embrassa, en même temps, il lui prit la main et l'attira en avant et lui recula. Ses sens en éveille en même temps, cherchant en obstacle ou une présence mais rien, il pouvait continuer à reculer sans danger. Mathéo, tout en l'embrassant, l'attira derrière des buissons ou se trouvait beaucoup d'arbre et ou la nuit était d'un sombre étrange. Ici, ils seraient tranquilles en tout cas. Doucement, mais sûrement, il mit le dis de Mélanie contre un arbre. Il se sentait bouilloner de l'interrieur, comme un volcan prêt à exploser. Mathéo descendit doucement ses lèvres dans le cou de la jeune fille, pasant sa main droite sous son tee-shirt caressant simplement son ventre. Le simple fait de la toucher le rendait heureux, simplement...

Mélanie qui avait été suivie par Mathéo, était maintenant contre Mathéo. Assez bizarre non ? Mais que voulez vous, quand vos hormones sont en marchent, il est assez dur de les retenir, surtout quand vous les avez retenu bien trop longtemps. Alors quand vous voyiez que vous pouvez vous lâcher, vous le faites, et pas qu'à moitié. Et bien Mélanie c'était exactement ça. Elle avait envie de Mathéo, et elle le montrait très bien, bon, ok, au début elle avait essayé de se calmer, mais vu que le jeune homme l'avait embrassé en premier, Mélanie pensait que cela voulez simplement dire, qu'elle pouvait enfin admettre sue oui, Mathéo lui faisait de l'effet, que oui, elle avait envie de lui...Bref, plusieurs choses qu'elle avait honte de montrer, de dire ou de faire à cause des pouvoirs de celui-ci. Bref, à présent, Mathéo et Mélanie ne se retenaient plus du tout coté hormones, enfin surtout Mélanie. Ils s'étaient embrassés, Mathéo avait déposé ses mains dans le dos de Mélanie et maintenant, celui ci, venait de l'embrasser. Mais en même temps, elle le sentait reculer, alors bien sur, notre brunette ne réfléchit pas et avança en même temps que lui reculait. Puis, quand elle le vit aller derrière un buisson, Mélanie fut assez surprise mais tout ceci ne la déplaisait pas pour autant. Elle se laissa alors faire totalement ayant une très grande confiance en Mathéo. Quelques temps après, elle le vit lui déposer doucement le dos contre un arbre. Mélanie laissa ses deux mains autour du cou du jeune homme. Notre brunette vit Mathéo descendre sa bouche vers son cou. Mélanie se mordilla doucement la lèvre. Sayez, elle bouillonnait de l'intérieur. D'ailleurs sa respiration se fit un peu plus accélérée quand elle sentit la main douce et chaude de Mathéo venir se faufiler sous son tee-shirt pour venir lui caresser le ventre. Mélanie ferma doucement les yeux avant de commencer à passer sa main droite sous le tee-shirt du jeune homme. Elle le remonta petit à petit ne voulant pas presser le moment qui était en train de se produire. Oui, des moments pareil avec Mathéo étaient très rares, alors, autant profiter tout doucement de ce qu'il arrivait...

Mathéo...

Elle le vit alors remonter doucement la tête, oui, n'oublions pas qu'il était en train de l'embrasser dans le cou. Alors notre petite brunette, le regarda dans les yeux avant de s'approcher et de l'embrasser langoureusement...

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